mercredi 13 juillet 2016

Horaires d’été Saint-Jacques Saint-Christophe

Messes : 
du mardi au vendredi à 12h15 
Samedi 18h30 et Dimanche 10h30 
Lundi 15 Août messe de l’Assomption messe à 10h30 
L’église sera ouverte du mardi au dimanche de 9h à 19h 
L’accueil sera assuré à l’église mardi et vendredi de 17h à 19h

ÉTÉ 2016 à la Paroisse Sainte-Colette

MESSE

En semaine : En raison des JMJ et du rythme estival, les messes de semaine seront

assurées uniquement jusqu’au mardi 19 juillet inclus et reprendront le mardi 30

août 2016.

Dimanche : Les messes dominicales seront maintenues en juillet et août ainsi que la

messe du 15 août, Assomption de la Vierge Marie.

Merci aux pères Norbert MUKWANGA et Dino QUARTANA qui assurent ces messes.

OUVERTURE DE L’ÉGLISE

- lors des heures de permanences d’accueil et de secrétariat,

- lors des messes (se référer ci-dessous)

ACCUEIL

La permanence est assurée : JUILLET 2016

- le mardi 12 juillet, de 15h à 18h.

Reprise des permanences d’accueil du mardi (15h-18h), le mardi 6 septembre.

- tous les mercredis après-midi, de 15h à 18h.

- les samedis matin 16 et 23 juillet, de 9h30 à 12h.

- tous les samedis après-midi, de 15h à 18h.

- aux jours et heures d’ouverture d’été du secrétariat (se référer ci-dessous  )

- les samedis matin 6 et 20 août, de 9h30 à 12h. AOÛT 2016

- tous les samedis après-midi, de 15h à 18h.

- à partir du 25 août, aux jours et horaires du secrétariat :

mercredi et jeudi de 9h00 à 12h30 ; vendredi de 9h00 à 13h et de 14h à 18h.

ACCUEIL PAR LE PERE XAVIER

La permanence et les confessions sont assurées jusqu’au mardi 19 juillet et à partir

du 30 août 2016 par le Père Xavier.

SECRETARIAT 

Ouvert les mercredi et jeudi de 9h00 à 12h30 ; le vendredi de 9h00 à 13h et de 14h à 18h.

- du 1 er au 15 juillet et du 27 au 29 juillet.

- fermé du 20 au 22 juillet et au mois d’août jusqu’au 24 août inclus.

~ Paroisse Sainte-Colette- des-Buttes-Chaumont ~

14 bis allée Darius Milhaud – 75019 PARIS - 01 42 08 24 18

sainte.colette@wanadoo.fr

vendredi 8 juillet 2016

Eté 2016 : horaires des messes des samedis et dimanches



Copie de la version papier de l'Ami

Fête de l'Assomption - lundi 15 août
Les messes ont lieu aux horaires des messes dominicales. Il n'y aura pas de messe anticipée le dimanche soir 14 août.

Tout au long de cette période estivale, des messes de semaine sont célébrées dans les paroisses mais nous vous demandons de prendre contact avec ces dernières pour avoir une information aussi précise que possible. N'hésitez pas à consulter les sites paroissiaux.

St Jacques-St Christophe :  http://www.sjsc.fr/
Notre Dame des Foyers : http://egliseinfo.catholique.fr/lieu/75/paris-19/notre-dame-des-foyers
Saint Luc :   http://www.saintlucparis.com/
Saint Georges :    http://saintgeorgesdelavillette.cef.fr/
Notre Dame de l'Assomption des Buttes Chaumont :   http://nddbc.free.fr/
Saint Jean Baptiste de Belleville :   http://sjbb.fr/
Chapelle Notre Dame de Belleville Reine des Familles :     http://egliseinfo.catholique.fr/lieu/75/paris-19/notre-dame-de-belleville-reine-des-familles
Saint François d'Assise :     http://egliseinfo.catholique.fr/communaute/pa/75/saint-francois-d-assise
Sainte Claire :  http://www.paris.catholique.fr/-sainte-claire-d-assise-.html
Sainte Colette des Buttes Chaumont :                                                           http://www.paris.catholique.fr/-Sainte-Colette-des-Buttes-Chaumont-.html
Marie Médiatrice Notre Dame de Fatima : http://www.sanctuaire-fatima.com/fr_FR/
Eglise Orthodoxe Russe Saint Serge : http://paroissestserge.free.fr/Bienvenu/Bienvenue.html
Eglise Luthérienne Saint Pierre : http://www.egliselutherienne-paris.com/?q=node/32


jeudi 7 juillet 2016

Les animaux dans la Bible : le Chameau

Caractère et symbole

Le chameau est un animal peu aimable. Les Pères de l’Eglise voient dans le chameau
plusieurs symboles :

La rancune :

« Le chameau frappé jadis, en garde un long ressentiment et s’il trouve une occasion
favorable, il rend le mal qu’on lui a fait. » (Saint Basile)

L’humilité :

« Le chameau est prêt à s’incliner pour recevoir les fardeaux qu’il doit transporter »
(Saint Grégoire le Grand).

Ils voient aussi le chameau comme symbole du Christ qui s’humilie volontairement en prenant sur lui le fardeau de nos péchés.

Le péché :

Le chameau est aussi le symbole de la difformité du péché.
« La tortuositas (les bosses) du chameau, ce sont les actions des hommes pervers (Origène).
Un peu plus tard, Saint François de Sales s’inscrira dans la même tradition en disant : « Le
chameau, bossu, est proprement fait à porter les fardeaux, il représente le pécheur ».


Le chameau dans l’Evangile

A deux reprises dans ses discours, Jésus se sert du chameau pour faire comprendre des
situations difficiles. Tout d’abord en parlant des riches, il proclame : « Il est plus facile à un chameau de passer dans le trou d’une aiguille, qu’à un riche d’entrer dans le Royaume des Cieux » (Mt 19,24). La comparaison est énorme mais elle montre bien que celui qui est trop préoccupé par ses richesses et par tout ce qui le retient attaché, ne peut entrer dans le Royaume de Dieu. Au Moyen Âge, on a essayé de trouver une explication à l’expression « trou de l’aiguille ». En voici un témoignage plus récent : « Hier, écrit Lady Dulf Gordon, j’ai vu un chameau qui se glissait par un trou d’aiguille. On appelle ainsi en effet, la petite ouverture d’un enclos. L’animal doit glisser sur les genoux et courber la tête pour y pénétrer. » (Letters from Egypt, Londres, 1865).

Lorsque Jésus fustige l’attitude hypocrite des pharisiens, il emploie une autre hyperbole. Il dit que les pharisiens sont des « guides aveugles, qui filtrent le moucheron et avalent le
chameau » (Mt 23,24). Les pharisiens payaient scrupuleusement la dîme, versant au Temple le dixième de leur récolte. Leurs scrupules étaient tels qu’ils allaient jusqu’à prélever la dîme sur les condiments comme la menthe, le cumin et le fenouil, mais par ailleurs, ils étaient incapables de respecter la justice, la miséricorde et la fidélité, c’est­ à­ dire l’essentiel de la Loi.

Source : Les animaux dans la Bible-
Art, Culture et Foi
Paroisse Saint François de Sales

mercredi 6 juillet 2016

Les animaux dans la Bible : Le Cerf

La symbolique du cerf est ancienne ; il est souvent associé à la gazelle dans l’Ecriture Sainte : il symbolise la rapidité, la prudence.

Pour les auteurs médiévaux, le cerf est un symbole de fécondité et de résurrection (ses bois repoussent chaque année), une image de baptême (il s’abreuve à la Source vive). Les Pères de l’Eglise et les théologiens en font un animal pur et vertueux, un attribut du Christ au même titre que l’agneau.

La Bible nous parle du cerf ou de la biche de façon très poétique.
Ainsi, dans Job 39, 1­4, le Seigneur dévoile à Job les merveilles de la Création : « As­-tu observé l’enfantement des biches ? Combien de mois dure leur gestation, quelle est l’époque de leur délivrance ? »

Quant au cerf qui court vite et fait de grands bonds, c’est le prophète Isaïe qui annonce le Messie par ces mots : « Voyez ! c’est votre Dieu,... alors le boiteux bondira comme le cerf »  (Is 35,6) mettant en lumière à la fois la guérison opérée par le Christ et l’élan de la grâce communiquée par le Seigneur.

Dans le Cantique des Cantiques, l’époux est comparé au jeune faon « Sois semblable, mon Bien­aimé, à une gazelle, à un jeune faon sur les montagnes de l’alliance »(Ct 2,17) ou encore « Fuis mon Bien­aimé, sois semblable à une gazelle, à un jeune faon, sur les montagnes embaumées »(Ct 8,14).

C’est à partir du Psaume 42, 2 « Comme languit une biche après l’eau vive »...que la tradition a vu dans le cerf, ou la biche, l’âme assoiffée de Dieu. Saint Augustin développe longuement ce symbolisme du cerf qui brame vers les eaux : « Courez aux sources, désirez les sources des eaux ». Le cerf apparaît ainsi comme le symbole du catéchumène qui se prépare au baptême, se désaltérant à la source jaillissante : « qui boira de l’eau que je lui donne n’aura plus jamais soif : l’eau que je lui donnerai deviendra en lui source d’eau jaillissant en vie éternelle » (Jn 4,14).

Origène, lui, voit dans le cerf, chasseur de serpents, le modèle de l’actif : il est l’ennemi et le tueur de serpents, par le souffle de ses narines, il les fait sortir des trous et neutralisant leur venin, il s’en délecte avec volupté. Ainsi, a­-t-­on pu voir dans le cerf, le Christ, victorieux du démon.

Source : Les animaux dans la Bible­Art, Culture et Foi­ Paroisse Saint François de Sales

dimanche 3 juillet 2016

Les animaux dans la Bible : l'Âne

Caractère et symbole


L’humilité caractérise l’âne alors que l’orgueil va au cheval. L’âne est l’emblème de la paix
 tandis que le cheval est le symbole de la guerre.

L’âne est considéré comme un animal noble auquel on assimile les personnages dont on
veut faire l’éloge. Ainsi lorsque Jacob bénit ses douze fils qui formeront les douze tribus
d’Israël, il bénit Issachar en ces termes : « Issachar est un âne robuste, couché au milieu des
 enclos... » (Gn 49,14).

En Palestine, l’âne sert de monture aux personnages de haut rang, autre aspect de sa
noblesse. Debora entonne ainsi un cantique de louange à Dieu au moment de l’installation
en Canaan : « Ecoutez rois, prêtez l’oreille princes !... mon cœur va aux chefs d’Israël...
Vous qui montez des ânesses blanches, assis sur des tapis... chantez » (Jg 5,10).

L’âne dans la Bible


1. Ancien Testament


Les ânes ont toujours été considérés par les Hébreux comme une part importante de leurs
richesses : « Yahvé a comblé mon maître de bénédiction et celui­ci est devenu très riche : il
lui a donné du petit et du gros bétail, de l’argent et de l’or, des serviteurs et des servantes,
des chameaux et des ânes » (Gn 24, 35).

Ils en possèdent de véritables troupeaux. Lorsque les Hébreux comptabilisent le butin après
la bataille de Madian, ils trouvent un troupeau de 60.000 ânes à se partager (Nb 31,32­34).

Le livre de l’Exode énumère des lois morales envers son prochain et l’âne en fait partie :
« il est défendu de convoiter l’âne de son voisin parce qu’il est objet d’envie » (Ex 23,4).

Les prescriptions du Sabbat incluent aussi une référence à l’âne : « Pendant six jours tu
feras tes travaux, et le septième jour tu chômeras, afin que se reposent ton bœuf et ton âne »
(Ex 23,12).

Le Lévitique classe l’âne parmi les animaux impurs parce qu’il ne rumine pas (Lv 11,3).
Par conséquent, on ne mange pas la viande de l’âne sauf en cas de famine où la tête d’âne
se vend à prix d’or (2R 6,24).

L’ânesse de Balaam : Le devin Balaam est en route pour jeter un sort au peuple d’Israël.
Par trois fois, l’ange du Seigneur barre la route à son ânesse et par trois fois, Balaam roue
de coups la pauvre bête... qui se met à parler. L’ange dessille les yeux de Balaam : il
continue sa route, mais cette fois pour aller bénir le peuple d’Israël (Nb 22,22).

2. Nouveau Testament


La présence de l’âne et du bœuf dans la crèche n’est pas mentionnée dans les Evangiles
canoniques mais dans les Evangiles apocryphes. L’art chrétien les représente dès le IVe
siècle pour illustrer ce passage du prophète Isaïe : « Le bœuf a reconnu son propriétaire et
l’âne la crèche de son maître » (Is 1,3).

C’est monté sur un âne que Jésus fait son entrée messianique à Jérusalem. Ainsi
s’accomplit la prophétie de Zacharie : « Crie de joie, fille de Jérusalem : voici que ton roi
vient à toi ; il est juste et victorieux, humble, monté sur un âne, un ânon, le petit d’une
ânesse » (Za 9,9).

Sources : Les animaux dans la Bible, ART, CULTURE ET FOI, Paroisse Saint François de Sales 17e